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Glossaire
Hier finden Sie Erklärungen zu den Fachbegriffen in allgemeinÂ
verständlicher Sprache.
A
Abcès
Amas de pus localement limité
Abcès en fer à cheval
Accumulation de pus qui entoure au moins la moitiĂ© du caecum, le plus souvent au niveau des sphincters de l’anus
Abdomen aigu
Fortes douleurs abdominales soudaines d’origine d’abord confuse
Absorption
Absorption d’une substance (mĂ©dicaments, nutriments), p. ex. dans la veine
Abus (Utilisation excessive)
Consommation toxique de médicaments, drogues, alcool, nicotine
Acide folique
Vitamine hydrosoluble faisant partie des vitamines du groupe B. Elle joue un rĂ´le important dans la division cellulaire.
Acide urique
Produit de la dĂ©composition dans le mĂ©tabolisme. Est Ă©liminĂ© par l’urine. Peut dĂ©clencher une crise de goutte en cas de concentrations Ă©levĂ©es.
Adaptation
Ajustement
Adénome
Tumeur bĂ©nigne qui se forme dans la muqueuse ou Ă l’intĂ©rieur du tissu glandulaire comme la prostate, la glande thyroĂŻde, les surrĂ©nales, etc. Elle peut apparaĂ®tre partout, le plus souvent en tant que polype dans l’appareil gastro-intestinal.
Adolescence
PĂ©riode entre la pubertĂ© et l’âge adulte
AĂ©rophagie
Avaler de l’air
Afébrile (Absence de fièvre)
Température normale du corps
Agarose
Solution nutritive pour la culture (élevage et multiplication) de bactéries
Albumine
Protéine dans le corps humain et animal
Alcalin (Basique)
Alcalin, solution aqueuse au pH élevé
Alimentaire
En rapport avec l’alimentation
Allergie
Violente réaction de défense immunologique exacerbée et indésirable à des substances environnantes normalement inoffensives. Le type extrême est le choc anaphylactique avec effondrement circulatoire et une issue potentiellement mortelle. Les allergies sont souvent confondues avec des intolérances ou des effets secondaires (p. ex. diarrhées pendant le traitement antibiotique).
Alopécie
Calvitie, perte des cheveux Il en existe des formes acquises ou congénitales ainsi que des symptômes localement limités et concernant aussi le corps entier.
Amnésie (Absence de souvenir, décrochage, trous de mémoire)
Laps de temps sans souvenir. L’amnĂ©sie survient souvent suite Ă des commotions cĂ©rĂ©brales, des Ă©vènements traumatisants ou une intoxication avec des drogues ou de l’alcool.
Anastomose
Point de jonction entre deux structures (tubulaires) en forme de tube, p. ex. estomac, intestin, vaisseaux, vessie.
Anémie
DĂ©ficit en globules rouges due Ă une perte ou Ă une production rĂ©duite. Perte : HĂ©morragie pendant une opĂ©ration, saignements d’une tumeur, règles importantes, grosse rate ; production rĂ©duite : Carence en fer, vitamine B12 ou acide folique, maladies de la moelle Ă©pinière, infections chroniques.
Anesthésie générale (Anesthésie totale)
Endormissement gĂ©nĂ©ral du patient avec dĂ©connexion des douleurs et de la conscience avec des anesthĂ©siques sous surveillance continue des valeurs vitales (pression artĂ©rielle, pouls, oxygène) ainsi que la profondeur de l’anesthĂ©sie. Une ventilation artificielle est nĂ©cessaire Ă cause de la suppression du reflexe respiratoire.
Anesthésie locale (Endormissement local)
Endormissement d’une zone de peau par injection d’un anesthĂ©siant, application de froid ou de pommades/pansement contenant des anesthĂ©siants
Anesthésie régionale (Anesthésie partielle)
AnesthĂ©sie ciblĂ©e d’un ou plusieurs nerfs pour la dĂ©connexion temporaire de la sensation de douleur et de l’activitĂ© musculaire pour des interventions chirurgicales.
Anesthésie spinale (Rachianesthésie)
Endormissement des jambes par injection d’un anesthĂ©sique dans le canal mĂ©dullaire du dos. Des mĂ©dicaments spĂ©ciaux et un positionnement sur le cĂ´tĂ© après l’injection permettent de rĂ©aliser Ă©galement des rachianesthĂ©sies d’un seul cĂ´tĂ©.
Anévrisme
Dilatation pathologique d’un vaisseau artĂ©riel
Annexes (Trompes)
Tubes allant de l’utĂ©rus aux ovaires Après l’ovulation, sert Ă transporter l’oeuf fĂ©minin dans l’utĂ©rus. La fĂ©condation de l’oeuf a lieu, le plus souvent, pendant le transport dans la trompe.
Anthrax
Creux sur leDésigne plusieurs furoncles reliés entre eux
Aorte
Principale artère
Appendice (Appendice vermiculaire)
Prolongation du gros intestin Ă droite dans le bas-ventre
Appendicite (Inflammation de l’appendice)
Inflammation de l’appendice vermiculaire. Il est recommandĂ© de l’enlever dans les 12 Ă 24 h par voie chirurgicale.
Artère
Vaisseau sanguin qui transporte le sang du coeur vers les tissus, avec un flux sanguin qui pulse
Artérite temporale (Maladie de Horton, artérite à cellules géantes)
Inflammation rhumatismale de l’artère temporale. Elle peut se manifester par les symptĂ´mes suivants : violents maux de tĂŞte ou troubles de la vision.
Assistance
Soutien professionnel et qualifiĂ© du chirurgien responsable pendant l’intervention chirurgicale
B
Bactériémie
Présence de bactéries dans le sang
Bactériurie
Présence de bactéries dans les urines
BĂ©nin
Sans conséquences graves
Bile, liquide biliaire
Liquide sécrété par le foie et stocké dans la vésicule biliaire et délivrée dans le duodénum via le canal cholédoque en mangean
Biopsie (Prélèvement de tissus)
Prélèvement de tissus pour les étudier au microscope.
Bradycardie
Pouls inférieur à 60 battements par minute
Bursite (Inflammation des bourses séreuses)
La plupart des articulations comportent des bourses sĂ©reuses. Elles peuvent s’enflammer Ă cause d’un traumatisme ou d’une infection bactĂ©rienne. Une sollicitation pendant de nombreuses annĂ©es entraĂ®ne une inflammation chronique.
Bypass gastrique (Gastric Bypass)
Le bypass gastrique consiste Ă poser, par voie chirurgicale, une dĂ©rivation de l’estomac et des premiers 150 centimètres de l’intestin grĂŞle. On ne laisse qu’un morceau d’estomac de 20 Ă 30 millilitres pour l’absorption de nourriture. Ceci permet d’obtenir une rĂ©duction de poids notable, de mieux contrĂ´ler la rĂ©gulation de la glycĂ©mie ; les pathologies associĂ©es telles que l’hypertension, la glycĂ©mie, l’apnĂ©e du sommeil, les douleurs articulaires et les remontĂ©es acides s’amĂ©liorent nettement ou guĂ©rissent.
C
Caecum
Première partie du gros intestin A ne pas confondre avec l’appendice vermiculaire.
Calcitonine
Hormone sécrétée dans les cellules C de la thyroïde et empêchant la destruction des os. Dans le carcinome médullaire de la thyroïde, la calcitonine est un marqueur tumoral explicite (représentatif).
Carcinogène
Cancérogène
Carcinome anal
Tumeur maligne dans le canal anal et jusqu’Ă cinq centimètres autour de l’anus. SymptĂ´mes : DĂ©mangeaisons, saignements, troubles de la dĂ©fĂ©cation, envie constante d’aller Ă la selle, altĂ©ration de l’Ă©tat gĂ©nĂ©ral. Diagnostic : Examen avec palpation de l’anus, rectoscopie du canal anal et du rectum avec prĂ©lèvement d’Ă©chantillons de tissu, imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique (IRM), Ă©chographie. Traitement : RadiothĂ©rapie associĂ©e Ă une chimiothĂ©rapie, en cas de rĂ©ponse insuffisante ou, pour les stades prĂ©coces ablation chirurgicale. Facteurs de risque : Infection avec le papillomavirus humain, herpès anal, pĂ©nĂ©tration anale, HIV, radiothĂ©rapie antĂ©rieure dans la zone.
Carcinome du colon (Cancer du gros intestin)
Tumeur maligne du gros intestin. SymptĂ´mes : Perte de poids, dĂ©gradation de l’Ă©tat gĂ©nĂ©ral, sang dans les selles, anĂ©mie, irrĂ©gularitĂ©s/modification des selles. Facteurs de risque : Ă‚ge, surpoids, cigarette, alimentation pauvre en fibres, grande consommation de viande rouge, sĂ©dentaritĂ©, anomalie gĂ©nĂ©tique, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. Diagnostic : Coloscopie (recommandĂ©e Ă Partir de 50 ans), prĂ©lèvement de tissus, scanner Traitement : RĂ©section chirurgicale de parties du gros intestin avec les vaisseaux qui les alimentent et les vaisseaux lymphatiques refluants. En plus chimiothĂ©rapie selon le stade de la tumeur.
Carcinome du rectum (Cancer du rectum)
Tumeur maligne du rectum (les derniers 16 centimètres avant l’anus). SymptĂ´mes : Perte de poids, dĂ©gradation de l’Ă©tat gĂ©nĂ©ral, sang dans les selles, anĂ©mie, irrĂ©gularitĂ©s/modification des selles. Facteurs de risque : Ă‚ge, surpoids, cigarette, alimentation pauvre en fibres, grande consommation de viande rouge, sĂ©dentaritĂ©, anomalie gĂ©nĂ©tique, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. Diagnostic : Coloscopie (recommandĂ©e Ă Partir de 50 ans), prĂ©lèvement de tissus, scanner Traitement : ablation chirurgicale du rectum ainsi que des dernières parties du gros intestin, du tissu adipeux environnant ainsi que des vaisseaux d’alimentation et des ganglions. Selon le stade de la tumeur et sa localisation prĂ©cise, il faut procĂ©der au prĂ©alable Ă une chimiothĂ©rapie et Ă une radiothĂ©rapie.
Carcinome du sein
Cancer du sein
Chéloïde (Prolifération cicatricielle)
Certaines personnes sont prĂ©destinĂ©es, du fait d’une prĂ©disposition gĂ©nĂ©tique, Ă une cicatrisation dĂ©sordonnĂ©e.
Chirurgie plastique (Chirurgie esthétique)
La chirurgie plastique s’intĂ©ressant aux modifications du corps humain aussi bien esthĂ©tiques que fonctionnelles, cette spĂ©cialitĂ© englobe aussi bien la chirurgie esthĂ©tique que rĂ©paratrice, p. ex. après des accidents ou des opĂ©rations tumorales.
Choc anaphylactique
Réaction corporelle violente déclenchée par des allergènes avec détresse respiratoire, collapsus circulatoire et issue potentiellement mortelle.
Cholécystite (Inflammation de la vésicule biliaire)
L’inflammation aiguĂ« de la vĂ©sicule biliaire est dĂ©clenchĂ©e, le plus souvent, par des calculs biliaires et provoque des douleurs constantes dans l’Ă©pigastre Ă droite. Il est recommandĂ© d’opĂ©rer la vĂ©sicule enflammĂ©e dans les 24 heures suivant l’hospitalisation. Dans certains cas, elle peut Ă©galement ĂŞtre traitĂ©e avec des antibiotiques et l’opĂ©ration planifiĂ©e dans l’intervalle non inflammatoire au bout de 4 Ă 6 semaines.
Cholestérol
Substance similaire Ă de la graisse absorbĂ©e avec la nourriture ou pouvant ĂŞtre fabriquĂ©e par le corps. Facteur de risque pour l’apparition de l’artĂ©riosclĂ©rose (calcification des vaisseaux).
Chromosome
Porteur du patrimoine génétique dans le noyau de la cellule
Chronique
Qui se développe lentement, qui dure longtemps ; silencieux, de longue durée
Cirrhose (Cicatrisation du foie)
La transformation cicatricielle du tissu hĂ©patique entraĂ®ne une rĂ©duction de la fonction hĂ©patique, ce qui entraĂ®ne une coagulation sanguine qui n’est plus suffisante, la prĂ©sence d’eau dans le pĂ©ritoine (ascite), des varices dans l’oesophage et une confusion du fait d’une dĂ©composition insuffisante de l’ammoniac. Origines : Alcoolisme, hĂ©patite B et C, douve du foie (Asie).
Colite ulcéreuse
Inflammation chronique du gros intestin qui commence sur l’anus et se caractĂ©rise souvent par des maux de ventre et des diarrhĂ©es sanguinolentes. La colite ulcĂ©reuse, contrairement Ă d’autres inflammations aiguĂ«s de l’intestin (p. ex. salmonellose) n’est pas due Ă des bactĂ©ries, mais Ă une rĂ©ponse erronĂ©e du système immunitaire Ă des tissus corporels.
CĂ´lon (Gros intestin)
Partie de l’intestin d’environ 160 centimètres de long entre l’intestin grĂŞle et le rectum. Il sert Ă Ă©paissir la bouillie alimentaire et Ă la dĂ©composition bactĂ©rienne des nutriments.
Coloscopie
Coloscopie avec une caméra flexible (endoscope) après évacuation préalable
Colostomie
Anus artificiel avec une anse du gros intestin. Le plus souvent selles molles Ă moulĂ©es. L’alimentation de la stomie est souvent facile et, après une première pĂ©riode d’accoutumance, les patients ont une bonne qualitĂ© de vie.
Commotion cérébrale (Traumatisme crânien)
Blessure du cerveau provoquée par un coup/choc violent sans conséquences visibles du traumatisme sur le scanner. Symptômes : Trous de mémoire (amnésie), maux de tête, nausées, vomissements, trouble de la concentration, désorientation, vertiges, troubles de la vision.
Compliance
Précision avec laquelle un patient applique les recommandations du médecin.
Constipation
DĂ©fĂ©cation infĂ©rieure Ă tous les 3 jours ou selles dures, de sorte qu’il est nĂ©cessaire de presser fortement ou que des douleurs apparaissent.
Consultation
Rendez-vous avec le médecin
Contraception (Prévention)
Actions pour Ă©viter la fĂ©condation et/ou nidation de l’ovule fĂ©condĂ© dans la muqueuse de l’utĂ©rus au moment du rapport sexuel. Les mĂ©thodes courantes sont les suivantes : PrĂ©servatif, pilule contraceptive, stĂ©rilet au cuivre ou hormonal, implant
Créatinine
Valeur sanguine pour estimer la fonction rénale
Crohn (Maladie de Crohn)
Il s’agit d’une malade intestinale inflammatoire chronique pouvant concerner toutes les parties de l’appareil gastro-intestinal entre la bouche et l’anus. L’inflammation est due Ă une rĂ©ponse erronĂ©e du système immunitaire Ă des tissus corporels.
Curatif
Dans une optique de guérison, axé sur la guérison
D
Debulking
RĂ©duction des tissus tumoraux pour diminuer la masse tumorale lorsqu’une ablation complète n’est pas possible.
DĂ©chirure contusive (Plaie ouverte)
Eclatement de la peau dû à un choc ou à des forces de cisaillement. Le plus souvent, les bords de la plaie sont irréguliers, abîmés et souillés.
DĂ©lire
Etat psychotique aigu avec apparition d’hallucinations, de dĂ©sorientation, de confusion, d’excitation et d’agitation corporelle en cas d’infections, d’empoisonnement, de sevrage alcoolique, d’hospitalisation, d’anesthĂ©sie, etc. Les patients âgĂ©s atteints d’une maladie grave et d’une dĂ©mence imminente sont les plus exposĂ©s.
Derme
Peau
Diabète sucré
Régulation insuffisante du sucre avec des valeurs de glycémie à jeun élevées et/ou une glycémie à long terme élevée (HbA1c) > 6.0 %.
Diarrhée
Plus de trois défécations par jour ou selles liquides.
Diverticules (Excroissances intestinales)
Evagination de la muqueuse intestinale Ă travers la paroi intestinale aux endroits fragiles, le plus souvent perforations vasculaires. Elles apparaissent le plus souvent dans l’anse sigmoĂŻde (bas-ventre Ă gauche), mais Ă©galement dans tout l’appareil gastro-intestinal. Les diverticules sont très frĂ©quents et apparaissent de plus en plus souvent avec l’âge. Tant qu’ils ne s’enflamment pas, ils ne sont pas pathologiques. Facteurs de risque pour l’apparition de diverticules : sexe masculin, surpoids, rĂ©gime pauvre en fibres, sĂ©dentaritĂ©, constipation.
Drains
Tuyaux qui Ă©vacuent vers l’extĂ©rieur, Ă travers la peau, le pus, les liquides ou l’exsudat d’une plaie depuis l’intĂ©rieur du corps.
Duodénum (Duodénum)
Morceau de l’intestin grĂŞle d’environ 20 centimètres de long entre l’estomac et le jĂ©junum, qui entoure la tĂŞte du pancrĂ©as et dĂ©bouche dans le canal cholĂ©doque et le canal pancrĂ©atique.
Dyslipidémie
Augmentation des acides gras ainsi que du cholestĂ©rol dans le sang. Ceci entraĂ®ne une dĂ©tĂ©rioration des vaisseaux par l’artĂ©riosclĂ©rose (calcification des vaisseaux).
Dysménorrhée
Douleurs pendant les règles
Dyspareunie
Douleurs pendant les rapports sexuels
Dysplasie
Modifications cellulaires avec trouble de la maturation des cellules
Dyspnée (Détresse respiratoire)
Difficultés à respirer
Dysurie
Douleurs pendant la miction
E
Echographie (Ultrasons)
Dans les mains du radiologue expĂ©rimentĂ©, l’Ă©chographie est un excellent outil pour Ă©valuer les organes abdominaux, les vaisseaux sanguins, les hernies, le coeur, la thyroĂŻde et les parathyroĂŻdes. Les rayons X nocifs sont inutiles.
Ectasie (Elargissement)
Dilatation des vaisseaux artĂ©riels en tant que prĂ©curseur de l’anĂ©vrisme.
Ectomie
Ablation chirurgicale, p. ex. ablation de l’appendice (appendicectomie)
Embolie (Caillot sanguin mobile)
Thrombose qui s’est dĂ©tachĂ©e de son site d’origine et qui est entraĂ®nĂ©e par le flux sanguin Ă travers les vaisseaux jusqu’Ă ce qu’elle reste coincĂ©e dans un vaisseau plus petit.
Embolie pulmonaire (Obstruction des artères pulmonaires)
Obstruction d’une branche d’une artère pulmonaire par un thrombus, un corps Ă©tranger, une tumeur, de la graisse
Epanchement
Accumulation accrue de liquide dans un espace naturel du corps, p. ex. dans les articulations, dans la plèvre pulmonaire ou dans le péricarde.
Epiderme
Epiderme
Escarres de décubitus
Modification de la peau provoquĂ©e par une vascularisation rĂ©duite d’un point d’appui du corps d’un patient alitĂ©. Elles peuvent se dĂ©velopper jusqu’Ă la nĂ©crose de la peau Ă l’endroit concernĂ©.
Escheria coli
Bactérie dans le gros intestin
F
FĂ©brile
Fiévreux
FĂ©mur
Os de la cuisse
Ferrum
Fer
Fertilité
Fertilité
Fibres alimentaires
Fibres d’origine vĂ©gĂ©tale indigestes
Fibrine
Protéine du corps jouant un rôle important dans la coagulation sanguine.
Fistule
Formation, provoquĂ©e par des inflammations, des tumeurs, des blessures, rarement aussi congĂ©nitale, d’un conduit partant d’une cavitĂ© corporelle vers l’extĂ©rieur ou entre des organes qui autrement ne sont pas reliĂ©s entre eux, p. ex. : Fistule pĂ©rianale depuis le rectum jusqu’Ă la peau autour de l’anus ou fistule colo-vĂ©sicale du gros intestin vers la vessie
Flatulences
Vents, « pets »
Flore intestinale
Les 400 espèces diffĂ©rentes de bactĂ©ries qui vivent dans l’intestin ; la flore intestinale normale remplit toutes les fonctions importantes pour la dĂ©composition des nutriments, dans le mĂ©tabolisme des vitamines, etc.
Formes allergiques
RĂ©action immĂ©diate : en quelques minutes Ă quelques heures (p. ex. venin d’abeille, pollen des graminĂ©es) ; rĂ©action tardive : en quelques jours (p. ex. irruption suite Ă la prise de pĂ©nicilline le plus souvent au bout de cinq Ă sept jours) ; allergie de contact : Par contact avec la peau (p. ex. nickel, parfums, agents de conservation)
Fossette sus-sternale
Creux sur le cou, en dessous de la pomme d’Adam, en dessus du sternum et entre les deux extrĂ©mitĂ©s mĂ©dianes des clavicules.
Fracture (Fracture osseuse)
Rupture d’un os due Ă l’action d’une force excessive (fracture traumatique) ou Ă l’affaiblissement de l’os Ă cause d’une tumeur ou d’une infection (fracture pathologique).
Furoncle
Inflammation purulente, le plus souvent Ă la racine des cheveux.
G
Gastrectomie
Ablation de l’estomac
Gastrite (Inflammation de la muqueuse gastrique)
Inflammation de la muqueuse gastrique. Cette inflammation peut être déclenchée par le stress, les médicaments, des bactéries ou les défenses corporelles.
Gastroentérite
Grippe gastro-intestinale avec diarrhées et vomissements.
Gène (Facteur héréditaire)
Segment de la chaĂ®ne molĂ©culaire constituĂ© de l’ADN qui porte l’information de certaines structures dues Ă l’hĂ©rĂ©ditĂ© ou des fonctions d’un organisme. Les gènes sont codĂ©s sur l’ADN et enregistrĂ©s dans le noyau de chaque cellule.
Générique
MĂ©dicament identique d’un autre fabricant. Les mĂ©dicaments, après l’expiration du brevet, peuvent ĂŞtre copiĂ©s par toutes les firmes pharmaceutiques et ĂŞtre mis sur le marchĂ© sous un nom qui leur est propre.
Génétique
Hérité, se rapporte aux gènes
Gériatrie (Médecine des personnes âgées)
MĂ©decine des maladies liĂ©es Ă l’âge.
Guide
Recommandations, dĂ©finies par un groupe d’experts, pour le traitement de maladies
H
Habitus
Apparence extérieure du corps
HĂ©matologie
Spécialité traitant les maladies du sang
HĂ©matospermie
Sang dans le liquide sĂ©minal de l’homme (Ă©jaculat)
HĂ©morroĂŻdes
Dans le canal anal, il y a trois coussinets vasculaires en charge de la continence fine en assurant une fermeture supplĂ©mentaire de l’anus de l’intĂ©rieur lorsque le sphincter est fermĂ©. Ces coussinets peuvent grossir beaucoup et devenir cliniquement gĂŞnants. Dès que les symptĂ´mes apparaissent, on parle d’une hĂ©morroĂŻde. Suivant la taille et les symptĂ´mes, les traitements sont diffĂ©rents : de la ligature avec un Ă©lastique jusqu’Ă une rĂ©section avec ablation complète du nodule hĂ©morroĂŻdaire en passant par un assèchement au laser ou avec de la chaleur ou la suppression de l’afflux sanguin.
HĂ©patologie
Spécialité traitant les maladies du foie
Hernie (Saillie des viscères)
Hernie, hernie viscĂ©rale AvancĂ©e anormale de tissus ou d’organes Ă travers la frontière d’une cavitĂ© corporelle.
Hernie cicatricielle
Hernie de la paroi abdominale avec saillie du pĂ©ritoine (sac herniaire) contenant de la graisse ou un morceau d’intestin dans la rĂ©gion d’un affaiblissement de la paroi abdominale Ă travers une cicatrice. Les facteurs de risque pour l’apparition d’une hernie ombilicale sont les suivants : La taille des cicatrices, le surpoids, la cigarette, l’infection d’une plaie, le sexe masculin.
Hernie de Spiegel (Hernie ventrale latérale)
Saillie du pĂ©ritoine (sac herniaire) contenant de la graisse ou un morceau d’intestin sur le bord extĂ©rieur des muscles du grand droit (muscle du six pack).
Hernie fémorale (Hernie crurale)
ProĂ©minence de l’Ă©pigastre (sac herniaire) contenant de la graisse ou un morceau d’intestin sous le ligament inguinal, le long des vaisseaux de la jambe et jusque dans la cuisse. Cette forme de hernie apparait plus souvent chez les femmes.
Hernie inguinale
Saillie du pĂ©ritoine (sac herniaire) contenant de la graisse ou un morceau d’intestin Ă travers le canal inguinal ou directement Ă travers un site faible dans les muscles au-dessus de la ceinture herniaire.
Hernie ombilicale (Hernie ombilicale)
Ouverture de la paroi abdominale au niveau du nombril avec saillie du pĂ©ritoine (sac herniaire) contenant de la graisse ou un morceau d’intestin. C’est tout Ă fait normal chez le nouveau-nĂ© car le cordon ombilical sort par cette brèche. Mais il devrait s’ĂŞtre fermĂ© avant les 5 ans de l’enfant.
Hernie scroto-inguinale (Hernie jusque dans les bourses)
En cas de grosse hernie inguinale chez l’homme, le sac herniaire peut saillir jusque dans le scrotum le long du cordon spermatique.
Herpes Zoster
Zona
Histologie
Examen des tissus au microscope ainsi qu’Ă l’aide de colorants et de marqueurs immunologiques.
Homéopathie
ThĂ©rapeutique qui repose sur le principe de similitude Peut ĂŞtre utilisĂ©e en complĂ©ment de la mĂ©decine acadĂ©mique bien qu’aucune preuve scientifique n’atteste son action.
Hyperparathyroïdie (Suractivité des glandes parathyroïdes)
SĂ©crĂ©tion excessive de l’hormone parathyroĂŻdienne
Hypertension artérielle
Hypertension artérielle
Hypertension artérielle (Elévation de la pression sanguine)
Pression supĂ©rieure Ă 140 mmHg, pression infĂ©rieure supĂ©rieure Ă 90 mmHg. Des valeurs anormalement hautes pendant une pĂ©riode prolongĂ©e endommagent progressivement les vaisseaux artĂ©riels avec une calcification, ce qui peut conduire Ă des problèmes de vascularisation comme l’infarctus du myocarde, l’AVC ou la « maladie du lèche vitrine ».
Hyperthyroïdie (Suractivité de la glande thyroïde)
SĂ©crĂ©tion excessive d’hormones thyroĂŻdiennes du fait de l’activitĂ© autonome de nodules thyroĂŻdiens, suractivitĂ© gĂ©nĂ©ralisĂ©e du fait de la stimulation auto-immune (maladie de Basedow) ou une inflammation. SymptĂ´mes : IntolĂ©rance Ă la chaleur, transpiration, augmentation de l’appĂ©tit, perte de poids, agitation, diarrhĂ©e, tachycardie.
Hypoderme
Tissu sous-cutané
Hypothyroïdie (Sous-activité de la thyroïde)
SĂ©crĂ©tion insuffisante d’hormones thyroĂŻdiennes après une opĂ©ration de la thyroĂŻde, après une inflammation, congĂ©nitale. SymptĂ´mes : Sensation de froid, manque d’entrain, moins d’appĂ©tit, prise de poids, baisse des performances, constipation
Hystérectomie (Créatinine)
Ablation de l’utĂ©rus
I
Ictère (Jaunisse)
L’augmentation de la bilirubine (bile) soit Ă cause d’une production accrue soit d’une excrĂ©tion rĂ©duite entraĂ®ne une coloration jaune de la peau et des sclères (blanc des yeux). La cause est une inflammation du foie (hĂ©patite A, B ou C), un blocage du canal cholĂ©doque par un calcul ou par une tumeur. Il est urgent de traiter chaque ictère.
Iléon
Dernière partie de l’intestin grĂŞle
IlĂ©ostomie (Abouchement de l’intestin grĂŞle)
Anus artificiel avec une anse de l’intestin grĂŞle. Le plus souvent selles liquides Ă au maximum molles avec une perte relativement importante de liquide. L’alimentation de la stomie est plus difficile et minutieuse qu’une colostomie.
Iléus
Occlusion intestinale
Implantation
Introduction d’un corps Ă©tranger dans le corps
Incidence
FrĂ©quence d’apparition d’une maladie
Incontinence
Miction ou dĂ©fĂ©cation involontaire IncapacitĂ© Ă retenir volontairement l’urine ou les selles.
Infection des voies urinaires
Inflammation de la vessie
Injection
Administration de médicaments liquides dans le corps avec une seringue. Sous-cutanée (sous la peau), intramusculaire (dans le muscle) ou intraveineuse (dans une veine).
Insuffisance rénale
Fonctionnement limité des reins
Insuline
Hormone servant à la régulation de la glycémie sécrétée par le pancréas
Intestins
Intestins
Invasif
Pénétrant, incisif
J
JĂ©junum
Intestin grĂŞle entre le duodĂ©num et l’ilĂ©on
L
Laparoscopie (Echographie abdominale)
Technique opĂ©ratoire mini-invasive avec une camĂ©ra. L’opĂ©ration est rĂ©alisĂ©e par plusieurs incisions de 5 Ă 12 millimètres. Elle nĂ©cessite une anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale, car la cavitĂ© abdominale est pleine de CO2, afin d’avoir la visibilitĂ© nĂ©cessaire.
Laparotomie (Incision du ventre)
Ouverture chirurgicale de la cavitĂ© abdominale en tant qu’accès pour des opĂ©rations classiques Ă ciel ouvert.
Laser
Le laser médical permet de traiter en douceur les varices, les hémorroïdes et les fistules coccygiennes.
Latence
Retard
LĂ©tal
Mortel
Létalité
MortalitĂ©, lĂ©talitĂ© d’une maladie
Leucocytes
Globules blancs Ont quelque chose à voir avec la lutte contre les agents pathogènes
Leucocytose
Nombre accru de globules blancs dans le sang indiquant une infection ou un stress
Leucocyturie
Globules blancs dans les urines indiquant une infection de la vessie, de l’uretère ou de la loge rĂ©nale
Lipides (Lipides sanguins)
Cholestérol et acides gras
Lipomatose pancréatique (Stéatose du pancréas)
Dans l’obĂ©sitĂ©, il peut y avoir une stĂ©atose du pancrĂ©as qui augmente le risque de dĂ©veloppement d’un cancer du pancrĂ©as.
Lithiase
Calculs dans les organes creux du corps, le plus souvent calculs biliaires, rénaux ou urinaires.
Lithiase cholécystique (Calculs biliaires)
Les calculs biliaires sont frĂ©quents et, la plupart du temps, ne provoquent aucun symptĂ´me. Mais ils peuvent conduire Ă des coliques hĂ©patobiliaires ou Ă des inflammations de la vĂ©sicule biliaire ou du pancrĂ©as. Dans un tel cas, une ablation chirurgicale de la vĂ©sicule biliaire est recommandĂ©e. Si les calculs biliaires mesurent plus de trois centimètres de diamètre, il est Ă©galement recommandĂ© d’enlever la vĂ©sicule biliaire, car ici le risque de cancer de la vĂ©sicule est nettement plus Ă©levĂ©.
Lumbago (Tour de reins)
Fortes douleurs, en partie immobilisantes, au dos
Lymphangite
Inflammation des vaisseaux lymphatiques indiquant une grave infection. Trait rouge sur la peau qui montre le site de l’injection par rapport Ă la ligne mĂ©diane du corps.
M
Mal perforant
Ulcération de compression des pieds avec diminution ou absence de sensation
Maladie maniaco-dépressive
Tableau pathologique psychiatrique avec variations importantes de l’humeur entre l’abattement, l’absence d’Ă©nergie, la tristesse (dĂ©pression) et l’excitation, la surestime de soi (manie).
Maligne
Maligne
Mamelon
Bout du sein
Matières fécales (Excréments)
Crotte, selles
MĂ©diastin
Espace dans la cage thoracique entre les deux lobes pulmonaires. Il renferme, entre autres, la trachĂ©e, l’oesophage, le coeur, l’artère thoracique et les ganglions lymphatiques.
MĂ©taplasie
Transformation d’un tissu en un autre provenant du mĂŞme terrain (p. ex. en tant que consĂ©quence d’irritations tissulaires)
Mycose
Attaque par des champignons, p. ex. de la peau, des muqueuses
N
NĂ©oplasie (Formation nouvelle)
On distingue des nĂ©oplasies bĂ©nignes ou malignes. Elles peuvent concerner un petit nombre de cellules modifiĂ©es jusqu’Ă de grosses tumeurs.
O
Obésité
Surpoids pathologique, dĂ©fini en tant qu’IMC > 30 kg/m2
Oedème pulmonaire
Inclusions d’eau dans les tissus pulmonaires perturbant l’Ă©change gazeux
Oesophage
Liaison entre la bouche et l’estomac pour le transport de la bouillie alimentaire
OFSP
Office fédéral de la santé publique
P
Pancréas (Pancréas)
Fait partie des organes de la digestion et endocriniens. En dĂ©versant de l’insuline dans le sang, il rĂ©gule le contrĂ´le de la glycĂ©mie. A travers la sĂ©crĂ©tion d’enzymes digestives il est coresponsable de la digestion des protĂ©ines et des graisses.
Pancréatite (Inflammation du pancréas)
On distingue l’inflammation aiguĂ« et l’inflammation chronique du pancrĂ©as. L’inflammation aiguĂ« est presque toujours dĂ©clenchĂ©e par des calculs biliaires ou l’alcool. 80 % des cas sont relativement anodins avec des douleurs pendant deux Ă quatre jours et suivies d’un rĂ©tablissement complet. Dans 20 % des cas, les symptĂ´mes sont lourds, en partie dĂ©lĂ©tères avec une nĂ©crose partielle ou complète du pancrĂ©as et des infections sĂ©vères. Des traitements en soins intensifs pendant plusieurs semaines sont alors nĂ©cessaires et les restrictions fonctionnelles permanentes sont très courantes. L’inflammation chronique du pancrĂ©as s’accompagne surtout de douleurs abdominales chroniques le plus souvent fortes, ainsi que d’un dĂ©ficit fonctionnel croissant de la rĂ©gulation de la glycĂ©mie et de la digestion des protĂ©ines et des graisses. La cigarette est le facteur qui influence le plus fortement la progression. Les ablations chirurgicales partielles du pancrĂ©as peuvent apporter un soulagement des douleurs.
Parathormone (Hormone parathyroĂŻdienne)
Hormone sĂ©crĂ©tĂ©e dans les cellules de la glande parathyroĂŻde qui stimule la perte de substance osseuse. C’est l’antagoniste de la calcitonine.
PCR (Protéine C-réactive)
ProtĂ©ine prĂ©sente en forte concentration dans le sang en cas d’inflammation et pouvant ĂŞtre utilisĂ©e pour Ă©valuer l’Ă©volution de cette inflammation ou d’une infection.
PĂ©ristaltique
Mouvement de l’intestin destinĂ© au transport et au mĂ©lange intime de la bouillie alimentaire.
PĂ©ritoine
Il recouvre l’intestin grĂŞle, l’estomac, l’appendice vermiculaire ainsi que de grandes parties du gros intestin. Une inflammation de l’intestin entraĂ®ne une inflammation du pĂ©ritoine et de fortes douleurs.
Péritonite (Inflammation du péritoine)
Tableau pathologique potentiellement mortel. Il faut distinguer l’inflammation locale du pĂ©ritoine (p. ex. dans une inflammation simple du gros intestin) et l’inflammation gĂ©nĂ©ralisĂ©e du pĂ©ritoine (p. ex. en cas d’Ă©clatement du caecum ou du gros intestin). L’inflammation du pĂ©ritoine s’accompagne de fortes douleurs ainsi que d’une sensibilitĂ© marquĂ©e au toucher et aux Ă©motions. Elle peut ĂŞtre fibrineuse, purulente ou congestive.
Péroné
Péroné
Pleurésie
Inflammation de la plèvre
Plèvre (Plèvre pulmonaire)
Fine couche tissulaire entourant les poumons
Polype
Tumeur bénigne ou maligne qui sort de la muqueuse (p. ex. intestin, estomac, nez ou vésicule biliaire).
Port-a-Cath
Chambre avec cathĂ©ter dans la veine cave supĂ©rieure implantĂ©e sous la peau. La chambre peut facilement ĂŞtre piquĂ©e Ă travers la peau au moyen d’une aiguille de ponction afin d’administrer par voie veineuse des mĂ©dicaments forts (p. ex. produits de chimiothĂ©rapie) ou pour une alimentation artificielle.
Préobésité (Surpoids)
Indice de masse corporelle (IMC) entre 25 et 30 kg/m2
Progression
Progression d’une maladie
Prolapsus rectal (Chute du rectum)
Evagination du rectum hors de l’anus. Dans la forme simple, le rectum revient de lui-mĂŞme en place via le sphincter après la dĂ©fĂ©cation, dans la forme avancĂ©e, le patient ou le mĂ©decin doit le remettre en place. Le chirurgien n’est consultĂ©, le plus souvent, qu’après de longues douleurs parce que le patient a honte.
R
RC
Rachis thoracique
RC
Rachis cervical
RĂ©cidive
RĂ©apparition d’une maladie temporairement disparue ou traitĂ©e avec succès.
Rectoscopie
Rectoscopie
Reflux (Remontées)
RemontĂ©es d’air ou, le plus souvent, du contenu de l’estomac ou d’acide gastrique dans l’oesophage
RĂ©mission
Recul d’une maladie
RĂ©section pulmonaire
Excision d’une partie des poumons.
RĂ©tention d’urine
Lâcher l’urine n’est pas possible. Provoque de fortes douleurs du fait de la dilatation de la paroi de la vessie.
RGO (Reflux gastro-Ĺ“sophagien)
RemontĂ©e du contenu de l’estomac (restes de nourriture ou acide gastrique) dans l’oesophage. Il peut entraĂ®ner des douleurs (sensation de brĂ»lure) derrière le sternum. Certaines personnes ne le remarquent cependant pas ou le ressentent comme une pression. L’acide peut entraĂ®ner des modifications de la muqueuse de l’oesophage ainsi qu’une toux chronique, un enrouement ou des dommages aux dents en cas de remontĂ©es acides jusque dans la bouche. Si une maĂ®trise suffisante des symptĂ´mes par un blocage mĂ©dicamenteux de l’aciditĂ© est impossible, le sphincter oesophagien infĂ©rieur peut ĂŞtre renforcĂ© au moyen de mesures chirurgicales.
RL
Rachis lombaire
S
Scanner (CT Scan)
Examen à coupe transversale à base de rayons X qui permet la visualisation détaillée des organes internes, des vaisseaux, des os et des tissus mous. Est souvent utilisé en urgence pour une confirmation ou en cas de tumeurs pour évaluer leur étendue.
Service de soins intensifs (IPS)
Service pour les personnes très malades, malades, instables. Ici, il est possible de surveiller les patients en permanence, le traitement et les interventions très complexes doivent ĂŞtre effectuĂ©s 24h/24. Si nĂ©cessaire, il est possible d’assister le coeur et la circulation avec des mĂ©dicaments. Il est possible aussi de procĂ©der Ă un remplacement du fonctionnement des reins (dialyse) et Ă une ventilation. Le ratio d’encadrement mĂ©dical et de soins est très haut.
Service de surveillance (IMC)
Une surveillance permanente et un suivi médical et infirmier intensif sont possibles, hormis la respiration artificielle et les mesures invasives.
Sleeve gastrectomie (Tube gastrique)
OpĂ©ration du surpoids ayant pour but une perte notable du poids et l’amĂ©lioration de la maladie associĂ©e au surpoids ainsi qu’une amĂ©lioration de la qualitĂ© de vie des personnes obèses. La rĂ©section d’une grande partie de l’estomac permet de former un tube d’un volume approximatif de 100 millilitres. Ceci permet de rĂ©duire la quantitĂ© de nourriture absorbĂ©e et la sensation de faim. La ??rĂ©organisation?? des hormones de digestion entraĂ®ne une perte de poids notable et amĂ©liore le contrĂ´le de la glycĂ©mie.
Stéatose hépatique (Foie gras)
Dans l’obĂ©sitĂ©, le foie, en tant qu’organe de stockage, stocke de la graisse dans les cellules hĂ©patiques. L’inflammation que cela provoque peut entraĂ®ner une transformation du tissu hĂ©patique jusqu’Ă une cirrhose (cicatrisation, rĂ©tractation). Au stade terminal, le traitement de choix est une transplantation de foie. Une opĂ©ration bariatrique peut apporter un rĂ©tablissement partiel ou complet du foie.
Sténose
Rétrécissement
Stomie (Anus artificiel)
On tire une anse d’intestin Ă travers la paroi abdominale et la peau, on l’ouvre et on la coud dans la peau pour que les selles se vident dans la poche collĂ©e sur le ventre.
Syndrome d’apnĂ©e obstructive (SAOS)
Pauses respiratoires nocturnes avec rĂ©duction de l’oxygène dans le sang et rĂ©veils rĂ©pĂ©tĂ©s, ce qui entraĂ®ne un sommeil non rĂ©parateur avec fatigue le jour et une augmentation de la pression artĂ©rielle la nuit. Elles s’accompagnent, le plus souvent, d’un ronflement bruyant. La fatigue entraĂ®ne souvent une diminution de l’activitĂ© physique, ce qui conduit Ă une prise de poids supplĂ©mentaire. Le port de masques en surpression la nuit ou une perte de poids notable grâce Ă une opĂ©ration du surpoids permet de traiter le syndrome d’apnĂ©e du sommeil voire de le guĂ©rir.
Syndrome métabolique
Elévation de la pression sanguine, surpoids ou obésité, diabète sucré
T
Tachycardie (Accélération du rythme des battements du coeur)
Pouls inférieur à 100 battements par minute
Test de tolérance au glucose
Détermination de la glycémie à jeun et au bout de deux à trois heures, après avoir bu une solution de glucose. Ce test sert à évaluer la régulation du sucre dans le corps.
Thrombocytes (Plaquettes sanguines)
ElĂ©ment constitutif du sang en charge de la coagulation et dont la fonction peut ĂŞtre inhibĂ©e par l’aspirine.
Thrombose (Caillot sanguin immobile)
Des dommages localisĂ©s de l’endothĂ©lium vasculaire (tunique interne des vaisseaux sanguins), une compression ou un flux sanguin rĂ©duit entrainent la formation d’un caillot de sang sur la paroi qui provoque, la plupart du temps, l’obstruction totale du vaisseau.
ThyroĂŻdite (Inflammation de la thyroĂŻde)
Inflammation du tissu thyroĂŻdien par un rayonnement ou des autoanticorps (dĂ©fense de l’organisme contre lui-mĂŞme).
TNE
Tumeur neuroendrocrine
Trachée
Voie respiratoire entre le nasopharynx et les poumons.
TSGI
Tumeur stromale gastro-intestinale. Tumeur des tissus mous faisant partie du groupe des sarcomes.
Tumeur (Processus expansif)
Prolifération bénigne ou maligne de tissus dans le corps. Les tumeurs malignes sont appelées, dans le langage courant, cancer.
U
Ulcus (Ulcère)
LĂ©sion profonde de la peau ou d’une muqueuse qui n’est pas d’origine traumatique mais, p. ex., infectieuse, nĂ©oplasique, ischĂ©mique ou immunologique.
Urine
Urine
V
Valvule de Bauhin (Valvule iléo-caecale)
Liaison entre l’intestin grĂŞle et le gros intestin, qui empĂŞche, au moyen d’un mĂ©canisme de valves, le reflux du contenu du cĂ´lon dans l’intestin grĂŞle. Elle sert aussi de barrière pour la colonisation bactĂ©rienne qui est beaucoup plus importante dans le gros intestin que dans l’intestin grĂŞle.
Veine
Vaisseau sanguin qui transporte le sang du tissu vers le coeur
Ventre
L’abdomen est limitĂ© en haut par le diaphragme et en bas par le plancher pelvien. Outre les organes de digestion tels que l’estomac, le duodĂ©num, l’intestin grĂŞle, l’appendice vermiculaire, le gros intestin et le rectum, il contient aussi le foie avec la vĂ©sicule biliaire, le pancrĂ©as ainsi que la rate. Les reins avec les surrĂ©nales, les uretères ainsi que la vessie se trouvent aussi dans l’abdomen, de mĂŞme que les organes gĂ©nitaux fĂ©minins tels que les ovaires, les trompes et l’utĂ©rus ainsi que la prostate chez l’homme. Les gros vaisseaux tels que les artères abdominales et iliaques, la veine cave infĂ©rieure et la veine porte passent dans l’abdomen. L’intestin grĂŞle, l’estomac ainsi que des parties du gros intestin sont recouverts par le pĂ©ritoine.
Verrues génitales (Condylomes)
Infection sexuellement transmissible avec le papillomavirus humain. Il est recommandé de vacciner les jeunes garçons et les jeunes filles.